Eddie PONS

Dessinateur et illustrateur de presse depuis 1980, Eddie Pons vera ses dessins publiés en Espagne entre 1980 et 1981 dans ”Mundo Diario”,”Diario de Barcelona” et ”Avui”.
Puis jusqu’en 1985 sa signature illustrera les colonnes de ”Le Journal de Montpellier”. Ensuite ”L’indépendant” de Perpignan et ”Panorama Internacional” édité à Madrid publieront son travail. En 1989 commence une collaboration importante avec ”L’usine Nouvelle” tandis que parallèlement l’Agence de Presse Parisienne” diffuse ses dessins.
Actuellement il collabore régulièrement avec ”César”,”Côte Marseille Provence”, L’Agence de Presse Economique,”La gazette et le Paysan du Midi”,”Le journal du Pont du Gard”,”La Marseillaise” et” Regard”.

La télévision diffusera également des croquis d’audience pour France 2 et Arte.
FR3 Languedoc-Roussillon, entre les années 1982 et 1988 fera aussi appel à son talent. Cette même chaîne diffusera de 1984 à 1986 les 25 numéros d’un magazine mensuel consacré aux faits de société produit et réalisé par Eddie Pons en collaboration avec Francis Zamponi.

En 1992 il réalise un documentaire de 26 mn sur un vieux cabaret barcelonais, intitulé : "La Bodega Bohémia". Planète câble et France 3 en assureront la diffusion.
Actuellement Il réalise un documentaire de 52 mn sur l’histoire de l’aménagement du pont du Gard. Commencé en août 1998, la diffusion devrait se faire dans le courant de l’automne 2000.

Il est dificile de citer tous les lieux où Eddie Pons a exposé ses dessins tant ils sont nombreux et souvent insolites. Ce qui les réunis cependant, c’est le fait qu’il y régnait toujours l’atmosphére où s’épanouïssent ses personnages.

Exposition à la galerie d'art de Beaucaire

Le travail présenté était inédit. Jean-François Dreuilhe, directeur artistique de la Galerie avait donné une carte blanche à Eddie Pons,afin de lui permettre d’aborder un sujet qui le tiraillait depuis quelque temps celui des Solitudes.”Seul contre tous” thème générique de l’exposition rappelle à tout un chacun que s’il est aisé de s’entourer de beaucoup d’amis, on en reste souvent pas moins seul. Tout comme l’artiste devant une toile blanche.